Genre : Dungeon-RPG
Sortie : 2002
Support : PS2
Temps approximatif mis pour le finir : 19h
Terminé le : 10/02/2024
Suite complètement directe de .hack//Mutation. Donc comme pour le précédent, je n’en dirais pas plus sur l’histoire. Et mes remarques vont être sensiblement identiques.
Pours et contres
L’aspect « MMO » n’a pas changé, toujours là avec les e-mails et le forum. Dans les news, ils parlent d’un évènement qui se produit dans l’épisode 2 de .hack//Liminality. J’aime.
Les personnages non utilisés, mais dont les joueurs jouent encore, gagnent de l’expérience.
Les voix japonaises sont toujours présentes ! Et pas besoin de les remettre via l’option.
L’histoire (couplée avec le troisième épisode de .hack//Liminality) devient intéressante. On en apprend plus sur les origines du jeu The World.
De plus en plus de personnages impliqués, j’aime.
Je ne l’avais pas vraiment remarqué avant (ou alors c’est arrivé petit à petit ?), mais les lieux sont très glauques. Il y a une ambiance un petit peu flippante.
Plus de dégâts à 0 ! Il faut dire qu’avec une précision à 99, je me serais posée des questions.
/ Pas mal de quêtes annexes, certaines liées aux autres personnages (même ceux que je n’ai jamais pris), qui consistent toujours à aller au fond d’un donjon. Cela dit, une m’a bien plus : il s’agit d’un quiz. C’était sympathique de voir un peu de variation (qui demande un peu de culture).
/ Le système de combat égal à lui-même. Pas d’évolution.
/ Pas de changement dans les musiques. Je commence à en aimer certaines.
/ On peut enfin trouver des âmes virus dans les donjons ! Mais ça ne semble pas s’appliquer aux trois nouvelles récoltables… Et en général, pour avancer dans l’histoire, il faut les nouvelles…
Le partage d’équipements avec les équipiers est toujours casse-bonbon : en faire cadeau ou passer par le troc. Et il faut qu’ils soient disponibles bien évidemment. Et j’ai remarqué qu’ils ne gardent pas les objets donnés quand je me « déconnecte » au contraire de l’équipement…
Chose que j’ai oublié de dire : on ne peut avoir qu’un maximum de 40 objets différents. Très ennuyeux quand on a tendance à tout garder sur soi « au cas où » (il y a un endroit où déposer des objets).
Le jeu n’a pas évolué visuellement, ça reste assez moche.
Les Grunty, loin d’être beaux, permettent d’éviter les combats dans les plaines quand on les appelle avec la flûte. Et il est possible d’aller automatiquement vers le donjon. Je ne trouve pas ça tellement utile, surtout que les zones ne sont pas très grandes, mais ça reste marrant cinq minutes.
Pour ce qui est des courses de Grunty, déjà il faut en élever trois différents dans chaque ville pour y avoir accès. Ensuite c’est juste récupérer trois drapeaux dans la ville le plus vite possible tout en évitant les joueurs. Rien de palpitant au final.
Rien de nouveau dans les donjons. Heureusement qu’ils ne sont pas longs. (Et vive l’orbe de fée.)
Mon espoir fut de courte durée, puisqu’il faut toujours farmer les nouvelles âmes virus pour pouvoir débloquer les portes. Mais ça allait dans cet épisode.
La taille de la mini-carte n’a pas diminué.
C’est toujours très répétitif.
Les pseudos originellement anglais des personnages sont toujours traduits en français et je trouve ça toujours idiot.
Ils ont permuté les touches triangle (anciennement menu personnel) et rond (anciennement annulé) ! Et impossible de changer ça. Il m’a fallu un moment pour m’adapter…
Cette fois, j’ai vraiment stoppé les quêtes des gobelins. J’ai réussi la dernière du précédent jeu et ils en proposent toujours, mais cette fois avec trois gobelins d’un coup…
Une troisième partie avec pas mal d’informations sur The World si on la combine avec l’épisode associé de Liminality. Niveau gameplay, le jeu n’a pas évolué et n’évoluera certainement pas dans le prochain, mais ça devient vraiment intéressant. J’ai tout de même hâte de lancer le quatrième et dernier épisode.
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