Voici mes découvertes en matière de lecture de BD sur le mois de janvier 2023.
Œuvres ayant déjà un article :
• Funeral Concerto
• Kuro, un cœur de chat
Au programme :
• Deep 3
• Soloist in a Cage
• Le Conte des Parias
• Barakamon
Avis basé sur les 3 premiers volumes (le premier volume est sorti en octobre 2022)
Sur 5 en cours au Japon (au moment de cet article)
Damian Kawai est passionné de basket et rêve d’aller aux États-Unis pour intégrer la meilleure ligue : la NBO.
Seulement depuis un accident, il est atteint de troubles appelés le yips. Lorsqu’il s’approche du panier, une paralysie s’empare de ses bras et il ne peut plus marquer. Malgré sa pathologie incurable, il va tout de même s’efforcer de trouver un moyen de pouvoir atteindre son rêve.
J’adore le basket et donc quand j’ai vu la sortie de ce manga, je n’ai pas hésité une seconde à l’acheter.
Et j’étais assez mitigée après lecture du premier volume. Tout est centré sur le héros, les matches s’enchainent et les personnages secondaires étaient survolés. Mais après le tome 2, je l’ai associé à une sorte d’introduction. L’histoire démarre vraiment à partir de là et ça devient vraiment bien et intéressant.
En plus, il y a des interviews intéressants en fin de volume.
Avis basé sur le premier volume
Sur 3 terminé
Chloé, 7 ans, et Locke, son petit frère nourrisson, sont nés dans une Cité-prison entourée de hauts murs et ne sont jamais sortis de leur appartement. Depuis la disparition de leurs parents, Chloé s’occupe de Locke et ils survivent grâce à leur voisin, Ross Sandberg un chef de mercenaires, qui leur apporte des provisions. Lorsque Chloé apprend le plan d’évasion de son bienfaiteur, elle prend la folle décision de le suivre en escaladant le mur à sa suite avec son frère sur le dos. Mais voilà, les soldats robots les repèrent, Chloé est rattrapée par Ross, mais Locke tombe en contrebas.
Ross transmet alors son savoir à la jeune fille pour qu’elle puisse retourner dans cette prison et y chercher son frère.
Ce premier volume m’a bien plu. Un bon thriller angoissant et prenant avec une héroïne prête à vraiment tout pour retrouver son frère. Allez savoir s’il est toujours en vie après toutes ces années… Cette prison est vraiment un regroupement de bêtes sauvages, mais dont certains individus gardent tout de même une certaine humanité. J’ai vraiment hâte de lire la suite.
Attention à ne pas mettre entre toutes les mains, c’est assez sanglant.
Avis basé sur les deux premiers volumes
Sur 8 terminé (en France aussi)
Wisteria est une orpheline enjouée malgré les difficultés de la vie et Marbas est un diable immortel qui s’ennuie. Rares sont devenus les humains capables de voir les diables et Wisteria en fait partie. Ils vont alors se rencontrer, s’apprécier et finalement lier leurs destins, puis partir à la découverte du monde.
J’avoue, j’ai pris les deux premiers volumes à cause de l’offre découverte et parce que la série est courte. Et ce n’est pas si mal, même si ça reste dans le très classique. Ca se lit bien, c’est joli, mais rien pour le moment n’est très original (il y a même le groupe qui veut tuer tous les diables, il faut bien mettre des bâtons dans les roues de nos héros). Je sens une lecture agréable, mais vite oubliable.
A voir quand j’achèterai la suite.
Avis basé sur les deux premiers volumes – emprunt à la bibliothèque
Sur 18 terminé (en France aussi)
Seishû Handa, calligraphe doué, se retrouve envoyé sur une petite île à la campagne après avoir frappé un conservateur qui a osé lui dire que son travail est « formaté et sans saveur ».
Espérant tout de même pouvoir pratiquer sa passion dans le calme, il déchante très vite quand il remarque que les habitants du village sont sans gêne et peuvent venir à l’improviste chez lui.
J’en ai entendu plutôt du bien, je n’ai donc pas hésité à emprunter les deux premiers volumes à la bibliothèque. Et bien pour le moment, je suis plutôt mitigée : ça m’énerve les gens sans gêne. Mais en même temps, surtout après lecture du tome 2, ils sont attachants. Du coup j’ai quand même envie de lire la suite sans rester sur ma première impression.
Je m’attendais aussi à ce que le décalage entre le pur citadin et les campagnards soit plus gros. Mais finalement il s’habitue rapidement à sa nouvelle vie.
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