
Autre nom : Like a Dragon 5
Genre : Aventure (+ rythme)
Sortie : 2012 / 2020
Support : PS4
Temps approximatif mis pour le finir : 101h
Terminé le : 28/05/2025
Deux ans après les évènements du quatrième épisode, la trêve entre le clan Tojo et l’Alliance Omi est menacée par la mort imminente du septième président de cette dernière, Kurosawa Tsubasa. Dojima Daigo mène alors des négociations avec le patriarche de la famille Yamagasa, Madarame Tadashi. Peu après cette entrevue, Daigo rencontre Kiryu Kazuma, actuellement chauffeur de taxi sous le pseudonyme de Suzuki Taichi…

Pours et contres
L’histoire m’a semblé un peu tordue, mais c’est peut-être parce que j’ai mal compris les détails. En tout cas, elle reste sympathique dans l’ensemble.
Et elle a réussi à m’émouvoir.
Retour des multiples héros avec des différences de gameplay.
Haruka !
J’ai beaucoup aimé le découpage de l’histoire.

Des musiques bien dans le ton et très cool dans l’ensemble.
De nouveaux lieux !
Toujours aussi grouillants de vie. Un peu trop même, j’en avais marre de me cogner aux passants.
Enfin une deuxième barre de vie ! Depuis le temps que j’en rêvais !
Les QTE.

Beaucoup de nouveaux mini-jeux (plus ou moins fun) dont Taiko no Tatsujin ! Et l’Air Hockey !
J’ai bien aimé l’histoire parallèle de chaque personnage, même si j’aurais aimé plus de « conduite » que de blabla et la chasse ne m’a pas plu niveau gameplay.
Les quêtes annexes sont toujours suffisamment scénarisées pour être cool à faire.
On passe à une révélation par personnage (hors celle des armes que je n’ai pas réussi à déclencher). Ce qui n’est pas plus mal, ça évite les répétitions.

Pas d’ennemi abusivement fort et donc de combat casse-bonbon à gagner.
J’aime les personnages ainsi que leur design.
J’aime la voix de Kiryu.
J’aime quand ils enlèvent leur haut, c’est bien bâti là-dessous.

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Je ne trouve toujours pas le système de combat fun. Même si j’ai quelques affinités avec certains personnages et certaines techniques que je spammais sans remord (j’aime la contre-attaque).
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Ça ne change pas, on ne peut manger au restaurant que si on a perdu de la vie. C’est logique, mais c’est toujours frustrant. (Et les plats me donnaient très envie…)
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Je n’aime toujours pas la parlotte aux hôtesses, mais j’ai apprécié comment a été fait le final.
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Les PNJ sont toujours aussi rigides dans leur mouvement. Gênant ou drôle, ça dépendait des scènes.

Encore une fois il n’est qu’en anglais et encore une fois mon niveau n’est pas assez bon pour avoir tout saisi.
C’était un peu dérangeant de voir certains PNJ plutôt importants se comporter comme d’habitude après certains évènements.
Des combats m’ont semblé peu justifiés. La raison donnée est trop tirée par les cheveux pour expliquer la nécessité de se taper dessus…
Je n’avais pas tilté, mais les ennemis qui interpellent agressivement dans la rue alors que le personnage marche, c’est quand même assez pathétique.

Pour conclure
Ça fait plaisir de voir d’autres lieux que Kamurocho ! Et encore une fois, je me suis sentie obligée de toucher à tous les mini-jeux, certains moins (billard, shogi, jeux de hasard) que d’autres (karaoké, mahjong…) et j’ai trouvé leur répartition assez bien équilibrée entre les personnages. J’ai d’ailleurs apprécié ce découpage de l’histoire avec un beau dernier chapitre. Bon je ne crois pas avoir compris toute l’histoire dans les détails (surtout que certaines raisons m’ont parues tordues), mais j’ai l’ensemble. D’ailleurs il y a de bons moments émouvants sur la fin, même si cette dernière m’a semblé assez abrupte, j’ai l’impression d’avoir loupé des morceaux. J’espère que le sixième épisode apportera un approfondissement.
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