Kingdom Hearts: Re:coded

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Genre : Action-RPG
Sortie : 2010
Support : DS
Temps approximatif mis pour le finir : 19h
Terminé le : 28 février 2011
La compilation HD 1.5 contient un film avec les cinématiques du jeu.

Suite de Kingdom Hearts II, un mystérieux message apparait soudainement dans le premier carnet de Jiminy (celui où il a noté les évènements du premier épisode qui ont disparu laissant une seule phrase). Mickey, Donald, Dingo, Jiminy, Tic et Tac commencent l’investigation en utilisant une machine pour étudier l’intérieur du carnet…

Pours et contres

Je ne me lasse pas des musiques.
Jeu très joli pour de la DS.
J’aime bien le système de matrix, même s’il faudrait que je rejoue plus longtemps pour comprendre un peu mieux les actions.
Le gameplay change selon les mondes.
Dans mes souvenirs, ce n’était pas très compliqué.
Jeu court (j’ai été surprise quand j’ai vu le temps que j’avais mis à l’époque).

/ L’histoire n’est pas passionnante du tout jusqu’à arriver à la toute fin où elle raccorde quelques wagons.
/ Alors il devrait y avoir plus de mondes présents si on en croit le premier jeu, mais dans un sens tant mieux qu’ils n’y soient pas tous.
La caméra est casse-bonbon à manipuler.
Je détestais les zones de débugage. Tellement répétitives et lourdes.

Résumé de l’investigation
Pours et contres (spécifiques au film)

Le film n’est pas juste la récupération des cinématiques du jeu, mais ils ont aussi mis en scène certains passages en plan fixe d’origine.
Les résumés des investigations indiqués dans le film sont clairs et suffisantes.
Le film m’a paru interminable, il y a tellement de passages inintéressants (c’est encore plus flagrant vu que je ne jouais pas).

Combat mis en scène

J’ai relancé une heure le jeu pour raviver un peu mes souvenirs… et bien rien. Seules trois choses me sont restées en mémoire : les zones de débugage que j’ai détestées, le système de combat du monde d’Hercule (oui, oui, encore et toujours ce monde) que j’ai kiffé et la toute dernière cinématique qui annonce la suite. Ce jeu est tellement passionnant que ma mémoire a décidé de l’effacer presque entièrement. Ce que le film confirme : une bonne partie est soporifique. Je préfère encore jouer au jeu, au moins j’agis entre deux scènes. Là je tournais limite sur ma chaise pour éviter de m’endormir, trop de blablas inutiles !


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