Géante

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One-shot
Année de parution : 2020

Résumé :
Elle était une fois Céleste, géante véritable, orpheline recueillie au cœur de la montagne, petite dernière d’une famille de six frères. Et quand vient le temps où chacun s’envole du cocon familial, Céleste veut elle aussi arpenter de nouveaux horizons.
De la Vallée aux Marais en passant par Dorsodoro, elle découvrira l’hostilité créée par la différence, les injustices de la guerre ou de la religion mais aussi l’amour et pourquoi pas, au bout du chemin, la liberté d’être elle-même ?

Mon commentaire :
J’en sors mitigée. Déjà je ne suis très fan des dessins même s’ils ont une personnalité reconnaissable. Ensuite j’ai trouvé le récit trop facile. Tout se passe bien, même trop bien. Je pense que ça s’adresse aux jeunes, en tout cas j’aurais adoré si je l’avais lu adolescente. Après je ne rejette pas tout, c’est beau une héroïne battante avec des hauts et des bas. Elle rencontre plusieurs personnages divers et variés allant de l’escroc au prince, une belle brochette. Même l’histoire dans son ensemble est sympathique. Mais finalement ce qui me frustre le plus, c’est qu’on n’apprend rien de ses origines. C’est évoqué, mais ça ne va pas plus loin. C’est ce qui m’aurait le plus intéressé. Dommage, ça semble être normal de trouver un bébé géant tout seul au milieu de la montagne. Bon pour finir sur une note positive, la BD en elle-même est magnifique avec une très belle couverture.

Eva Rojas est une psychiatre qui doit passer des séances avec le Dr Llull pour pouvoir récupérer sa licence. Elle lui raconte alors sa semaine passée...

Cette BD est bien si on n’a pas envie d’en savoir plus sur les origines de l’héroïne. Et c’est ce que j’ai eu le plus envie de savoir. Dommage, la lecture reste plaisante malgré tout.


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