Escape from Monkey Island

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Genre : Point&Click (sauf qu’il n’y a pas de souris)
Sortie : 2000
Support : PC (GOG)
Temps approximatif mis pour le finir : 18h30
Terminé le : 23 juillet 2023

Nous reprenons l’histoire de Guybrush Threepwood là on l’avait laissé dans le précédent opus.
Le voilà de retour de sa lune de miel avec sa dulcinée pour découvrir que les habitants de l’île de Mêlée les croyaient morts…

Pours et contres

+ Le doublage français est très correct.
+ Les musiques sont toujours cool.
+ Les décors sont jolis.

+ Monkeeeeey Kombaaaaat ! (Bon j’ai quand même passé plus de temps sur mon cahier qu’à regarder l’écran pendant ces phases.)
+ Les énigmes sont logiques. La réelle difficulté sont les contrôles.
+ J’aime bien les personnages, fidèles à eux-mêmes.

+/- Je suis un peu mitigée sur l’histoire déjà très téléphonée et, à un moment, vraiment un peu trop absurde. L’humour a moins fait mouche aussi. Cela dit, dans l’ensemble, j’ai tout de même apprécié.
+/- J’aime bien le design des personnages, mais la 3D ne leur rend pas service, elle a mal vieilli. Les cous de certains personnages ou la façon de courir de Guybrush… Ça les rend un peu raides.

– Pas de souris.
– Les contrôles sont atroces, mais vraiment. Quand le personnage se prend un obstacle, soit il s’arrête net et il faut le dépêtrer de là, soit il fait demi-tour. Imaginez maintenant les passages un peu étroits où le personnage se prend un peu un des côtés et fait demi-tour ou reste bloqué… Ça m’est arrivé plein de fois et c’est la galère d’arriver à le faire passer correctement… Rendez-moi ma souris !

– Le jeu m’a paru durer une éternité. Pour passer d’un endroit à un autre, il faut le faire à pied, exit le double-clic.
– J’ai eu une sorte de bug où le dialogue attendu ne se déclenchait pas après avoir fait la bonne action. De quoi faire perdre du temps pour rien.

J’ai apprécié cet épisode, mais beaucoup de fausses notes. Surtout au niveau des contrôles du personnage qui m’ont vraiment pourri l’expérience, j’ai pesté plus d’une fois. Heureusement que les objets ou les interactions possibles sont assez visibles. J’ai eu l’impression que le passage à la 3D a été un peu forcé tellement elle est mal maitrisée.


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