Type : Seinen
Nombre de volumes : 18 (première édition) / 9 (Perfect)
État : fini
Année de parution française : 2003 – 2009 / 2021 – 2022 (Perfect)
Années de parution japonaise : 1997 – 2008
Résumé :
La Terre, dans un futur proche.
Le closure virus, un mal mortel et incurable dont l’origine est inconnue, a dévasté la population mondiale. Dans les décombres de la civilisation, l’humanité tente de se relever. Une famille, en particulier, fait tout ce qu’elle peut pour survivre : la famille Ballard, dont l’un des membres, Enoa, est immunisé contre le virus depuis sa naissance. Si l’espèce humaine a frôlé l’extinction, ses travers sont toujours bien présents : l’égoïsme, l’avarice, la volonté de domination, l’individualisme…
Mon commentaire :
En général (il y a eu quelques exceptions), je n’aime pas trop la science-fiction pure et c’est le cas pour cette œuvre. Je n’ai pas accroché, ça va de tuerie en tuerie, je me suis même demandée s’il resterait du monde pour aller au bout de l’histoire. D’un groupe à l’autre, les objectifs diffèrent et j’avoue m’être perdue dans tout ça, surtout que je ne comprenais pas les raisons de ces massacres (l’égoïsme humain doit être trop bien décrit). Je n’ai réussi à m’attacher à aucun personnage, ils m’ont laissée complètement indifférente. Et je ne parle pas de toute cette technologie (cyborg, robot, etc.) dont je ne raffole pas du tout.
Quelques points positifs : les dessins sont à mon goût et le tout début me plaisait bien ainsi que quelques passages de « vie de tous les jours ». Tout n’est pas perdu !
Une série que je n’aurais jamais lu de moi-même si on ne m’en avait pas parlé. Ce n’est pas un univers qui m’a passionné et je ne suis pas sûre d’avoir tout saisi à l’histoire, en particulier les motivations des différents groupes. Cela dit, j’entraperçois les qualités de l’œuvre, mais ce n’est pas pour moi. Bref, je suis passée complètement au travers, tant pis.
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