Golden Kamui

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Type : Seinen
Nombre de volumes : 31
État : fini
Années de parution française : 2016 – 2024
Années de parution japonaise : 2014 – 2022

Résumé :
Saichi Sugimoto est une véritable légende de la guerre russo-japonaise du début du XXe siècle. Surnommé “l’Immortel”, il a survécu aux pires batailles menées dans les régions les plus sauvages qui soient. Mais quand le conflit se termine, il se retrouve seul et sans le sou… C’est alors qu’il apprend l’existence d’un fabuleux trésor de 75 kilos d’or accumulé par les Aïnous, peuple autochtone vivant en harmonie avec la nature. Hélas, le magot a été volé, puis caché par un homme désormais enfermé dans la pire prison d’Hokkaido. Les seuls indices menant au butin sont de mystérieux tatouages inscrits sur la peau de criminels évadés…
Pour Sugimoto, la chasse au trésor est lancée… Cependant, seul, il a peu de chances de s’en sortir. À peine sa quête commence-t-elle qu’il manque de se faire déchiqueter par un ours brun ! Il ne doit la vie qu’à l’intervention providentielle d’Ashirpa, jeune indigène liée aux propriétaires légitimes du butin. Ils décident de faire équipe pour affronter les nombreux dangers qui les guettent sur la route de l’or des Aïnous…

Mon commentaire :
L’histoire en elle-même est très cool. La recherche du trésor est passionnante avec tout un tas de personnages plus ou moins intéressants dont je n’ai pas retenu la moitié (il ne faut pas trop en demander à ma mémoire). Et il y a plein d’informations fascinantes sur les traditions des Aïnous, un vieux peuple japonais, ainsi que sur l’Histoire elle-même (je n’ai pas vérifié l’exactitude par contre). De ce côté-là, j’ai adoré, mais le manga est plombé par un humour de très très mauvais goût. Il y a des passages, voire chapitres, entiers que j’ai détestés à cause de ça. Au final, ça a bien gâché ma lecture. Sans cet aspect, il aurait été parfait avec un rythme bien meilleur.

Un manga passionnant gâché par un humour que j’ai haï. Si ce point ne vous dérange pas, foncez, l’histoire mérite d’être lue. De mon côté, j’en ressors presque déçue et triste…


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